A la découverte de Mohamed

L’USDK, c’est un effectif professionnel, vitrine du club et de la ville de Dunkerque mais c’est aussi une filière jeune très active avec notamment des éducateurs motivés et motivants. On vous propose d’en savoir plus sur les plus anciens d’entre eux.

On continue avec Mohamed MAHMOUDI. Saviez-vous qu’il avait été Champion de France de Nationale 3 avec l’USDK ?

Portrait.

Depuis quand es-tu au club ?

Mohamed: « Je suis au club depuis 2002 en tant que joueur si ma mémoire ne me joue pas des tours. Et en 2013 en tant qu’entraîneur. »

 

Qu’est-ce qui t’a mené à l’USDK ?

S.P. : « Je suis venu au club grâce à l’école des Glacis, aux joueurs qui venaient nous rendre visite et au Macadam’hand qui se jouait sur le parking derrière chez-moi.»

Ton rôle au sein du club ?

M.M. : « Je suis éducateur des moins de 13 et séniors filles. »

Parle-nous un peu de toi ?

M.M. : « Professionnellement, je suis chauffeur livreur chez Salti. Et j’aime consacrer le reste de mon temps au hand (Ce qui peut être la cause de désaccord à la maison… :’P ).»

 

L’USDK, c’est quoi pour toi ?

M.M. : « Un club au sein duquel j’ai grandi et qui m’a fait évoluer techniquement et personnellement. J’ai commencé en moins de 11 puis année après année, j’ai pu accéder à la Nationale 3 / Nationale 2 où j’ai vécu deux de mes plus belles années passées au club.»

Ton ou tes meilleurs souvenirs ?

M.M. : « Mes meilleurs souvenirs… le premier, je dirais avoir joué avec Patrick Cazal et Arnaud Calbry… 😉

Le second avoir été champion de France de Nationale 3 lors de la saison 2009-2010 avec une belle bande d’handballeurs !»

Une anecdote ?

S.P. : « Le tournoi à Izola m’a permis de découvrir mes collègues éducateurs sous un autre angle… notamment Marie-Jo au quotidien avec ses étirements matinaux, sa gym douce et son régime endive ! De bons moments ! »

 

Des joueurs/joueuses t’ont-ils marqué ?

M.M. : « J’ai eu l’occasion d’entraîner des jeunes qui aujourd’hui évoluent à de bons niveaux ou que je retrouve en tant que coéquipiers avec les séniors garçons. C’est là que je m’aperçois que le temps passe vite…»