L’USDK, c’est un effectif professionnel, vitrine du club et de la ville de Dunkerque mais c’est aussi une filière jeune très active avec notamment des éducateurs motivés et motivants. On vous propose d’en savoir plus sur les plus anciens d’entre eux.
On continue notre saga avec Catherine BERTHELON. Vous saviez qu’elle a aussi joué au plus haut niveau français avec l’USDK avant de devenir l’une de ses plus anciennes éducatrices?
Portrait.
Depuis quand es-tu au club ?
Catherine: « Je suis arrivée de Dijon ou je jouais au CSLD en tant qu’ailière en N1 N1B de l’époque D1 D2. Enfin à 17 ans, je cirais pas mal le banc. Mais déjà je préférais défendre. Et j’ai quitté l’USDK à la fermeture de la section féminine puis je suis allée à St Pol (club rival). Faux, c’est sympa J »
Ton rôle au sein du club ?
C.B. : « J’ai commencé en tant qu’entraineur et pas entraineuse (clin d’œil à Arnaud CALBRY) avec Anne sur la génération 97 puis il y a eu Julian, Baptiste, Mike, Aymeric et maintenant Laurent. J’ai aussi fait les stats des pros avant même d’entrainer avec Anne et maintenant, c’est avec Michaël BREUZARD que je continue (super binôme, hein Samir on est les meilleurs 😉 ) Et je suis aussi bénévole pour toutes les occasions des tournois de jeunes. »
Quel est ton métier ?
C.B. : Je suis agent des douanes.»
L’USDK, c’est quoi pour toi ?
C.B. : « L’USDK c’est MON club. J’ai tellement connus de bons moments de joie, de plaisir, alors maintenant si je peux rendre. »
Une anecdote ?
C.B. : « Je suis devenue gardienne à 21 ans sans jamais avoir été dans les buts avant. Puis l’opportunité a fait qu’au bout de 3 mois d’entrainement, j’ai joué en D1 et je n’ai jamais quitté l’équipe. (Laure JOLY se blessait souvent… Je pense toujours à elle…). Après, on est passées par des descentes et remontées. »
Ton meilleur souvenir ?
C.B. : « J’ai plein de bons souvenirs. Le stage à la Réunion avec les vieilles, enfin les filles comme Choupette J Je les suis de près en âge. Autres souvenirs : Anne et le hand, c’est sa vie, Marie-Jo, les délires et sa défense. Evelyne à l’époque, je l’appelais Maman et maintenant c’est Mamy pour vous. C’est dire si je suis vieille (actuellement plus vieil entraîneur du club.) »
Des joueurs ou joueuses t’ont-ils marquée ?
C.B. : « Il y a des joueurs qui m’ont marquée, surtout la génération 97: Emilien HIELE qui pleurait de rage parce qu’il perdait. C’est un vrai bosseur. Bravo. Théo CLERBOUT, c’était le Clown de l’équipe mais un galeux sur le terrain et Florian BOULOGNE appelé « Chicken » à cause d’un arrêt effectué avec le coude. Je n’ai eu que des -15 garçons. Ils m’ont tous apporté quelque chose. Cette tranche d’âge, je la trouve attachante et pas encore trop de grosses têtes. »